Malgré les fermetures de gymnases et les incohérences dans les verrouillages, le maintien d’un mode de vie sain est une stratégie importante pour rester en sécurité pendant la pandémie de coronavirus[1]. Alors que le bavardage et l’opinion sur les réseaux sociaux peuvent ne pas être d’accord, la réalité ne change pas: les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis recommandent de porter un masque ou un masque facial en un moyen simple et peu coûteux de compléter la distanciation sociale et d’autres méthodes de contrôle des taux d’infection. La recherche montre également que les gymnases sont une source de transmission virale[2], comme de nombreux autres espaces publics, et que le masquage devrait faire partie de l’exercice et de l’expérience d’entraînement. Cela est particulièrement vrai lorsque l’activité est aérobie[3].
Chercheurs au Campus de soins de santé de Rambam à Haïfa, Israël, ont examiné les effets physiologiques des masques faciaux pendant l’exercice évaluer l’impact sur le stagiaire. Ils ont constaté que le masquage pendant l’entraînement aérobie avait un impact minime et statistiquement incohérent sur la fréquence cardiaque, la fréquence respiratoire, la respiration et la saturation en oxygène dans le sang. Cependant, l’utilisation d’un respirateur N95 a indiqué une augmentation de l’EtCO2 (dioxyde de carbone de fin d’expiration), une mesure de la production de dioxyde de carbox et de la clairance respiratoire. Cette augmentation pourrait également s’expliquer par le fait que l’air expiré est réinspiré lors du port d’un masque. Certes, une exposition respiratoire à des niveaux accrus de dioxyde de carbone peut avoir un impact sur les performances, peut provoquer des maux de tête, de la confusion, de la stupeur et une augmentation des fréquences cardiaques et respiratoires. Une exposition à court terme et une exposition intermittente peuvent également entraîner des améliorations du développement des muscles respiratoires et de meilleures performances.
La recherche ne regarde pas l’impact du port de masque d’un point de vue psychologique et ce n’est pas une étude assez large pour aider à tirer des conclusions spécifiques sur des populations spécifiques, car il s’agissait d’un groupe de sujets entièrement masculin. Il vaut donc mieux ne pas généraliser les résultats. Mais, vous pouvez simplement rester à l’écart de toute personne qui s’entraîne vigoureusement et garder vos distances [5]. On l’appelait autrefois une once de prévention qui semble il y a un million d’années aujourd’hui, à une époque où les gens sont extrêmement polarisés dans leurs opinions sur tout.
Référence:
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Vous pouvez lire l’article original (en Angais) sur le site
breakingmuscle.com