Tokyo 2020 ne veut pas de maux de tête liés au dopage en haltérophilie


Les concurrents se méfient des interdictions et de l’impact de la réanalyse des échantillons des années après les événements qui peuvent entraîner la perte de médailles et de statut.

La Turquie, la Colombie, le Mexique, la Thaïlande, l’Égypte, la Malaisie et la Roumanie, la puissance de l’haltérophilie, ont déjà ressenti l’aiguillon des interdictions pour les prochains Jeux olympiques de Tokyo 2020.

 

L’Agence internationale de test (ITA) et la Fédération internationale d’haltérophilie (IWF) ne plaisantent pas en ce moment avec une nouvelle direction de cette dernière déterminée à éliminer la stigmatisation de la corruption et le manque de surveillance du passé.

 

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